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Histoire du Scrabble

Le Scrabble est un jeu de société classique, inventé par Alfred Mosher Butts en 1938. Ce jeu de lettres s’appelait à l’origine Lexiko et est surtout connu comme un jeu pour les personnes âgées. En mars 2015, plus d’un million de parties officielles de Scrabble étaient jouées quotidiennement dans le monde. Il existe plusieurs versions du jeu, dont les versions américaine et britannique standard, ainsi qu’une version pour les francophones appelée Lexique

Le Scrabble est un jeu de société créé en 1938.

Le Scrabble est un jeu de société créé en 1938. Alfred Mosher Butts est l’inventeur du Scrabble, et son prénom était Alfred Mosher. Il a également inventé deux autres jeux appelés Lexiko et Anagrammes.

Le Scrabble se joue sur un plateau avec des tuiles qui écrivent des mots lorsqu’elles sont placées les unes à côté des autres horizontalement ou verticalement pour former un S. Ces tuiles sont appelées des carrés. Les joueurs placent à tour de rôle leurs lettres sur ces cases jusqu’à ce que toutes les cases soient remplies de tuiles ou qu’aucun mot ne puisse être créé à partir des lettres restantes sur leur support (une pile de tuiles inutilisées). Si vous marquez beaucoup de points en jouant, vous gagnez !

Le jeu de lettres a été inventé par Alfred Mosher Butts, un architecte de New York.

Alfred Mosher Butts, un architecte de New York, a inventé le jeu de lettres en 1938. Il l’a d’abord appelé Lexiko, avant de le rebaptiser Scrabble. Le jeu de lettres a d’abord été commercialisé comme un jouet éducatif pour les enfants de 8 à 12 ans, mais il est rapidement devenu populaire parmi les adultes qui aimaient jouer avec leurs enfants ou leurs petits-enfants.

La popularité du Scrabble s’est considérablement accrue après que William Wrigley Jr, fondateur de la société de chewing-gum Wrigley, a acheté les droits à la veuve de Butts et a commencé à produire le produit en masse en 1948. Wrigley a vendu plus d’un million de jeux au cours de la première année de commercialisation et, en 1950, plus de 5 millions de jeux dans le monde entier !

Le jeu de lettres a été inventé par Alfred Mosher Butts, un architecte de New York : Le jeu de lettres s’appelait à l’origine Lexiko, et il est surtout connu comme un jeu pour les personnes âgées.

Le jeu de lettres a été inventé par Alfred Mosher Butts, un architecte de la ville de New York : Le jeu de lettres s’appelait à l’origine Lexiko et est surtout connu comme un jeu pour les personnes âgées.

Butts a inventé le Scrabble en 1938, alors qu’il travaillait sur sa thèse à l’université Columbia de New York. Architecte, il s’intéressait aux jeux depuis l’enfance, ce qui l’a amené à créer plusieurs variantes de jeux de société populaires. Il a breveté sa dernière version de Lexiko (qu’il développait depuis 1923) le 2 mai 1948 sous le brevet américain 2269271 après des années d’essais avec des amis et des membres de sa famille qui l’ont aidé à l’affiner pour en faire ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Scrabble !

En mars 2015, plus d’un million de parties officielles de Scrabble étaient jouées quotidiennement dans le monde.

En mars 2015, plus d’un million de parties officielles de Scrabble étaient jouées quotidiennement dans le monde. Le jeu est populaire aux États-Unis, au Canada et en Angleterre, mais il gagne en popularité depuis les années 1990 dans d’autres pays comme la France et l’Allemagne.

Le jeu est aussi depuis longtemps pratiqué par des personnes âgées, mais pas toujours ! En fait, le créateur du Scrabble, Alfred Mosher Butts, a initialement conçu son jeu de lettres pour les adultes qui voulaient faire quelque chose d’amusant après le dîner à la maison avec leur famille ou leurs amis (et oui, nous savons que cela ressemble à un épisode de Leave It To Beaver). Cependant, de nos jours, de nombreux jeunes y jouent aussi…

Section : Il existe plusieurs versions du jeu, dont les versions américaines et britanniques standard, ainsi qu’une version pour les francophones appelée Lexique.

Il existe plusieurs versions du jeu, dont les versions standard américaine et britannique, ainsi qu’une version pour les francophones appelée Lexique.

Le jeu est populaire aux États-Unis, au Royaume-Uni et en France (où il est connu sous le nom de Scrabble).

À mémoriser : Il s’agit d’un jeu amusant et passionnant auquel tout le monde peut s’adonner !

Le Scrabble est un jeu amusant et passionnant auquel tout le monde peut jouer ! C’est un bon moyen d’apprendre de nouveaux mots, d’améliorer son vocabulaire et de passer du temps avec sa famille et ses amis.

Nous espérons que cet article sur l’histoire du Scrabble vous a plu ! Si c’est le cas, n’hésitez pas à le partager avec vos amis sur les médias sociaux afin qu’ils puissent eux aussi découvrir ce jeu fascinant et vous ferez des mots comme augmentation mammaire ou Blépharoplastie !

Histoire des mots

L’invention de l’écriture peut être considérée comme l’une des plus grandes réalisations de l’humanité. Les systèmes de représentation du langage par des signes graphiques ont évolué entre les différentes civilisations selon des voies assez communes, aboutissant souvent à la définition d’un alphabet. L’écriture est passée par des étapes évolutives précises : la phase initiale est la phase pictographique-idéographique, dans laquelle les signes sont utilisés pour représenter d’abord un objet (pictogramme), puis un concept (idéogramme) ; la phase suivante est la phase phonétique, dans laquelle les signes sont plutôt associés à des sons individuels et sont utilisés pour transcrire la parole.

La naissance de l’écriture s’est produite au sein des plus grandes civilisations du monde, au Moyen-Orient et en Égypte (3500-3200 av. J.-C.), en Chine (1200 av. J.-C.) et en Amérique précolombienne (600 av. J.-C.) loin des préoccupation d’augmentation mammaire aujourd’hui en 2023, en suivant à peu près les mêmes étapes d’évolution. Dans cet article, nous décrivons l’évolution des plus anciennes écritures produites par les grandes civilisations de la Méditerranée orientale.

 
De l’alphabet phénicien à l’alphabet grec

Les premières formes d’écriture en Mésopotamie et en Égypte

La condition préalable à l’apparition de l’écriture a été la formation de sociétés agricoles complexes. Celles-ci, après s’être installées dans les riches vallées alluviales traversées par de grands fleuves, se sont caractérisées par une hiérarchisation et une complexité administrative croissantes, de sorte qu’il a fallu inventer des systèmes d’enregistrement. C’est d’abord en Mésopotamie, entre le Tigre et l’Euphrate, puis en Égypte, sur les rives du Nil, que les premiers systèmes d’écriture complexes ont été mis au point.
 
 L’écriture cunéiforme : des pictogrammes aux coins

L’écriture cunéiforme a été développée dans la seconde moitié du 4e millénaire avant J.-C. par les Sumériens dans le sud de la Mésopotamie. Le système d’écriture sumérien descend d’une forme plus ancienne d’enregistrement, répandue du 9e au 4e millénaire avant J.-C. Cette première proto-écriture consistait en des signes comptables représentant des marchandises, inscrits sur de simples supports moulés en argile sous diverses formes appelées jetons ou « jetons de calcul ».

Ces premières formes d’écriture ont connu une évolution progressive vers des supports et des gravures de plus en plus élaborés, parallèlement à la complexité croissante de la société. L’écriture cunéiforme s’est développée pour répondre aux besoins pratiques liés à l’administration des premières cités-états par les castes sacerdotales qui les dirigeaient. Les étapes de l’évolution de l’écriture cunéiforme ont été reconstituées par les chercheurs.

Dans la première phase (3400-3200 av. J.-C.), l’écriture est pictographique : les pictogrammes sont des dessins qui reproduisent exactement l’objet auquel il est fait référence (un homme indique l’homme, un pied indique le pied). Dans la deuxième phase (2800 av. J.-C.), les pictogrammes sont également utilisés pour indiquer des objets ou des concepts liés à l’image représentée, d’où les signes appelés idéogrammes : un pied peut indiquer le pied lui-même ou un concept plus large tel que la marche. Dans la phase finale (2700-2600 av. J.-C.), les pictogrammes sont utilisés à la fois pour représenter un objet et pour représenter un son prédéterminé qui lui est associé. Progressivement, les signes sont utilisés exclusivement pour leur valeur phonétique, c’est-à-dire qu’ils deviennent des phonogrammes.

Au fil du temps, les signes deviennent de plus en plus stylisés et abstraits, rendant l’écriture plus pratique et plus rapide. Dans cette dernière phase, les signes sont appelés « coins » par les spécialistes. Avec environ 2000 signes disponibles, l’écriture cunéiforme permettait d’exprimer des concepts abstraits très élaborés et sa complexité la mettait hors de portée de tous.
 
Hiéroglyphes égyptiens : symboles sacrés

En Égypte, l’écriture avait une profonde signification sacrée et religieuse : il suffit de dire que le terme « hiéroglyphe », dérivé du grec, signifie « écriture sacrée ». L’écriture hiéroglyphique égyptienne s’est développée vers 3200 avant J.-C. et, dans l’état actuel des connaissances, ne semble pas avoir connu de phase initiale de proto-écriture. Dès le départ, le hiéroglyphe développe un système basé sur le phonétisme consonantique tout en utilisant des pictogrammes : ce système restera inchangé tout au long de l’histoire égyptienne, c’est-à-dire pendant 3000 ans.

En résumé, l’écriture hiéroglyphique se compose de 750 signes les plus fréquents, subdivisés comme suit : les pictogrammes, utilisés avec une valeur idéographique et non phonétique ; les déterminatifs, c’est-à-dire des signes qui ne se prononcent pas, mais servent uniquement à indiquer la sphère à laquelle le mot se réfère ; les signes phonétiques (24 au total) auxquels est associée une valeur consonantique, généralement de 1 à 3 consonnes.


Les hiéroglyphes égyptiens

Comment les Égyptiens écrivaient-ils un mot abstrait ? Ils utilisaient pour cela un pictogramme, c’est-à-dire l’image d’un objet dont le nom se prononçait presque de la même manière que le concept abstrait : si le mot pas et le mot voyage se prononçaient à peu près de la même manière, le même signe servait à exprimer les deux ; de même, le signe du disque solaire servait à désigner le soleil, mais aussi le jour, l’heure et le dieu Râ.

Comme pour le cunéiforme, la lecture des hiéroglyphes égyptiens n’était pas simple, car dans les deux cas, l’alphabétisation était réservée aux élites, essentiellement aux rois et aux classes sacerdotales qui détenaient le pouvoir.
 
L’invention de l’alphabet

L’étape évolutive la plus importante dans le développement de l’écriture est représentée par l’invention de l’alphabet, qui trouve une localisation spatio-temporelle sur la rive orientale de la Méditerranée, dans les cités phéniciennes de la seconde moitié du Ier millénaire av. Cette révolution fondamentale, à l’origine du système de communication que nous utilisons encore aujourd’hui, est sous-tendue par le concept selon lequel chaque son de la parole est représenté par un seul signe, qui est ainsi totalement dépourvu de son sens pictographique ou idéographique.
 
Les écritures syllabiques

Comme les autres écritures, l’alphabet a également suivi une évolution. À mi-chemin entre les écritures idéographiques et les écritures alphabétiques se trouvent les écritures dites syllabiques, dont certaines remontent à la seconde moitié du IIe millénaire av. Il s’agit notamment de l’écriture pseudo-géroglyphique de Biblo ou de l’écriture dite proto-sinaïtique, répandue dans la péninsule du Sinaï. Ces deux écritures transposent les signes hiéroglyphiques égyptiens utilisés pour leur simple valeur phonétique, en les utilisant comme syllabes puis comme consonnes.

Ces systèmes ont été conçus pour rendre l’écriture plus simple et plus immédiate et pour être utilisés comme moyen d’enregistrement rapide par les marchands des villes côtières de la Méditerranée orientale ou par les ouvriers travaillant dans les mines égyptiennes du Sinaï.

Sur la base du concept des écritures syllabiques, l’une des premières écritures alphabétiques a été développée, l’écriture ougaritique, nommée d’après la ville côtière d’Ugarit, aujourd’hui en Syrie, qui, contrairement à ses prédécesseurs, utilisait des signes cunéiformes au lieu de hiéroglyphes. L’alphabet ougaritique comportait 30 signes, chacun ayant une valeur purement phonétique.
 
De l’alphabet phénicien à l’alphabet grec

L’alphabet phénicien primitif a hérité de l’écriture ougaritique l’ordre des lettres, schématisant davantage les signes. L’alphabet phénicien comprenait 22 signes correspondant à autant de consonnes, qui s’écrivaient généralement de droite à gauche. Une caractéristique commune à toutes les écritures qui se sont développées dans la partie orientale de la Méditerranée est l’absence de signes spécifiques pour indiquer les voyelles, car le sens d’un mot était exprimé par la racine consonantique (c’est encore le cas dans les langues sémitiques modernes comme l’arabe et l’hébreu).

À partir de la fin du 1er millénaire avant J.-C., l’écriture alphabétique phénicienne s’est rapidement répandue au Proche-Orient, puis à travers la Méditerranée grâce aux routes commerciales empruntées par les Phéniciens. Au cours de son long périple, l’écriture phénicienne s’est transformée, s’adaptant à différentes langues et donnant naissance à de nombreux autres alphabets. Au IXe siècle avant J.-C., l’alphabet phénicien a été acquis par les Grecs, qui l’ont intégré à leur propre tradition d’écriture, introduisant des signes pour indiquer les voyelles et jetant les bases du développement de l’alphabet que nous utilisons aujourd’hui… 

 

Conclusion

Le Scrabble est un jeu formidable pour tous les âges, et il est amusant d’y jouer entre amis ou en famille ! Vous trouverez sur ce site des idées pour beaucoup de mots utilsiables au scrabble en passant par location ou voiture sans oublier drastique ou dramatique ! Vous trouverez aussi sur ce site des idées sur comment progresser au scrabble et vous améliorez !